vendredi 21 décembre 2012

Mariage pour qui, pourquoi ?


Mariage pour qui, pourquoi ?


Mariage,hétérosexuel, filiation, homosexuel,institution, enfants, égalité, PMA, famille, GPA , évolution.

Le projet de loi “mariage pour tous“ qu'est-ce que c'est ?

Pour certains c’est une évolution de la loi pour plus d’égalité en permettant aux couples homosexuels de se marier et en protégeant les enfants des couples homosexuels.

Pour d’autres, il s'agit d'une loi inutile, mais surtout d'une loi qui détruirait la notion de famille en affirmant que l'on ne défend plus le droit des enfants, mais le droit à l’enfant.

Est-ce un combat éthique, moral, juridique, passionnel ?
Une chose est sure il y a un réel manque de débat autour de cette question, car le fait d’avoir voté Hollande en mai dernier ne signifie en rien l'approbation du mariage pour tous par les Français. Le raccourci est trop facile et il occulte toutes les nuances des voix pour Hollande aux présidentielles.

Un sujet de société de cette ampleur ne peut pas aboutir sans débat, les manifestations ne suffisent pas, et les auditions menées par le député Erwann Binet rapporteur de la loi ne sont pas paritaires, en ce qui concerne le choix des invités. Le député PS a d'ailleurs affirmé haut et fort sont manque d'objectivité sur la question. 

Il faut que le gouvernement organise et instaure un vrai débat pour informer, expliquer aux Français ce projet de loi. Il faut enfin que la question soit décidée par référendum. 

vendredi 23 novembre 2012

Soutenir les clubs amateurs, préserver nos valeurs !


Soutenir les clubs amateurs, préserver nos valeurs !


Jʼétais présent mercredi 21 novembre 2012 à la remise du label FFF pour 3 ans encore,à lʼassociation italo-européenne de Grenoble, “lʼ ASIEG“. Je souhaitais leur montrer mon soutient.

Nʼoublions pas que le football reste le sport où il y a le plus de licenciés dans notre pays. Et même si lʼimage du football moderne est très dégradée, il faut montrer que les clubs amateurs sont là pour tenir ce sport comme vecteur de valeurs auprès de nos jeunes.

Je tiens à féliciter le club, son président Vincent Scarpa et surtout les éducateurs qui font un travail exceptionnel en inculquant aux jeunes footballeurs les notions de respect, de fair-play, le gout à lʼeffort et biens dʼautres encore.

Malgré le manque de moyens et l’absence d’un stade décent pour accueillir ses licenciés, le club ne cesse de progresser.Je suis conscient que la municipalité souffrira prochainement d’une diminution des subventions de l’état. 

Mais je pense qu’il est nécessaire de travailler avec ce club pour trouver un moyen de financement pour une structure à la hauteur de son dévouement et de son investissement au quotidien, auprès des jeunes et moins jeunes Grenoblois.

mercredi 17 octobre 2012

Le projet du tram E est bloqué à l'image du cours Jean-Jaurès.



Photos Dauphiné Libéré


Le projet du tram E est bloqué à l'image du cours Jean-Jaurès.

Suite au recours dʼassociations de riverains défavorables au tram E, le commissaire du gouvernement a requis au Tribunal administratif l’annulation du projet.
Un véritable coup dur pour les politiques en place .
Et si lʼannulation était prononcée, cela impactera d’autres projets comme celui de la "Presqu'ile".
Tous cela aurait il pu être évité ?
Comment expliquer les coûts déjà engagés et les travaux effectué ?
Réponse le 6 novembre 2012.

Autoroute 151 : Vallini relance le débat



André Vallini
Photo du Dauphiné Libéré



Autoroute 151 : Vallini relance le débat
On le croyait aux oubliettes. Et pourtant, le projet d’autoroute A51, revient de nouveau sur la table. Mis en place dès 1987, il avait à l’origine pour but de relier Aix-en-Provence à Grenoble via les Hautes-Alpes. Pourtant en 2012, il n’y a toujours pas de tronçon Sisteron-Grenoble ; Lionel Jospin ayant abandonné le projet dès 2000, pour ne pas céder la vallée des Hautes-Alpes au trafic routier.
Pourtant, bien des années plus tard, André Vallini, président du conseil général de l’Isère, souhaite relancer le projet, comme il l’a fait savoir dans une lettre adressée « aux entrepreneurs isérois ». Je trouve sa position courageuse, en dépit de l’opposition de son propre camp au projet.Il a su être objectif.
Les personnes défavorable à ce projet nous diront que lʼimpact écologique nʼest pas négligeable, que les coûts sont élevé, que la construction d'autoroutes nʼest pas de notre temps…
Si je ne nie pas les deux premières contestations, je pense qu’il est bon de voir plus loin et plus grand. Une ville comme Grenoble doit être un carrefour stratégique, et cela ne peut se faire sans une autoroute continue depuis le sud de la France.  Pour que Grenoble s'épanouisse, rendons-la plus accessible, lʼéconomie en sortira grandie, un critère qu’il ne faut pas négliger en temps de crise.

dimanche 7 octobre 2012

Une des clés dans le contexte actuel : Mounier



Crédit : Benoit PAVAN 

Depuis un certain temps il se passe un évènement dont on ne mesure pas l’ampleur des conséquences. Je veux parler du lycée Emmanuel-Mounier qui est aujourd’hui et depuis plusieurs années, menacé. Jugé vétuste, sa démolition a longtemps été envisagée.
Un collectif réunissant élèves, parents et professeurs travaille sans compter pour la sauvegarde de l'établissement sur le même site. Pourtant, malgré́ leur dévouement et leurs efforts de tous les jours, ces acteurs ne sont pas véritablement soutenus par les élus locaux et leur combat n’a pas assez de résonance.

Ces mêmes élus ne cessent de nous répéter que des efforts sont faits pour instaurer une mixité́ sociale dans nos quartiers, à l’image du “projet Villeneuve“. La démolition d’une barre de la Villeneuve est envisagée pour « ouvrir » le quartier sur la ville. Un projet uniquement esthétique dont les coûts seront faramineux. La ville met tous les moyens sur la forme et rien sur le fond. Et pourtant, le lycée Mounier est déjà un exemple de réussite de mixité sociale, qu’il faut sauvegarder et préserver. Les élèves accueillis dans ce lycée proviennent des quartiers Teisseire, Villeneuve, Jouhaux, Malherbe et de certains quartiers du centre ville. S’il venait à disparaître, ce serait un véritable échec de la politique menée par les autorités en place ; un pas en arrière.
Je le répète, il est extrêmement important de conserver le peu de mixité sociale qui existe dans notre ville. Il faut permettre aux jeunes des quartiers difficiles d’accéder aux formations générales à proximité de chez eux.
Le récent drame d’Echirolles nous rappelle qu’il est primordial de sauvegarder le lycée Mounier. En effet, la meilleure arme pour stopper la violence aveugle que nous avons connue, c’est l’éducation.


mardi 2 octobre 2012

À qui la faute ?







Crédit : PHILIPPE DESMAZES / AFP



Tout d'abord, je voudrais adresser mes condoléances aux familles de Kevin et Sofiane. Ces jeunes nous ont quitté trop tôt. Sachez que je compatis et comprends votre douleur, je vous souhaite du courage pour traverser cette souffrance.
Gardons ces actes en mémoire, ainsi nous pourrons avancer et évoluer pour que cela ne se reproduise plus.

Grenoble et son agglomération sont sous les feux des projecteurs toujours et encore pour de tristes raisons : banditisme, braquage, crime, drogue, arme, règlements de comptes. Souvent des innocents sont pris dans l’engrenage, balle perdue, prise d’otage et comme dernièrement avec ces actes barbares dus à un mauvais regard.
Des questions se posent : à qui la faute ? Est-ce un problème d'insécurité ou d’éducation ? Faut-il plus de moyens pour les forces de l’ordre ? Devons-nous être encore plus répressifs ou tenter de nouveau le dialogue social ?

Dans les quartiers dits sensibles, ces actes étaient commis par le passé, par des individus d’un certain âge, c'était la génération « Scarface ». Aujourd’hui les protagoniste sont de plus en plus jeunes, pour ma part je les nommerais génération « Zepekenio », du nom de personnages de film tourné dans les favélas du Brésil. Un groupe de jeunes sans foi ni loi voulant prendre le pouvoir au plus vieux par la force en agissant en bande et en commettant des actes d’une grande violence.
Il est évident que la jeunesse de notre pays est à la dérive, sans repère, sans valeur, rien n’est fait pour inverser la tendance. Certes, la crise économique n’aide pas, mais nous dresser les uns contre les autres n’arrangera rien non plus. Car dans le contexte actuel, il serait facile de montrer du doigt les uns ou les autres. Ne tombons pas dans l’écueil de la stigmatisation.
Ne fermons cependant pas les yeux, il y a un réel problème dans nos quartiers, dans nos banlieues. La drogue, les armes sont les principales causes de ces dérives. Remplaçons les par l'éducation, la formation, l’emploi. Prenons conscience des enjeux car nous sommes au bord d’une crise morale.

L’heure n’est plus à chercher les coupables mais à se rassembler pour trouver des solutions efficaces. 


mercredi 4 juillet 2012

Le discours du Premier ministre à l'Assemblée nationale


Jean-Marc Ayrault à l'Assemblée nationale. (capture d'écran)


Jean-Marc Ayrault c’est livré à un exercice très difficile, celui de s’exprimer devant nos parlementaires pour énoncer sa politique générale.
Comme ses prédécesseurs, il a été chahuté. Le Premier ministre est resté malgré tout malgré concentré sur ses fiches, ses notes, pour exprimer le chemin qu’il veut nous faire emprunter. Avec un ton lent, grave sur certains point. Son discours a été long, parfois ennuyeux, à certains moments, intéressant. Il est difficile de critiquer la forme tant l’exercice est fastidieux.
Mais sur le fond nous pouvons être en désaccord ou en adéquation. L’UMP se devra d’être en opposition sur tous les points, par principe, pour contredire. Les alliés du PS, ne seront qu’approbation, sans réflexion aucune.
Quelle belle image de notre pays où les personnes sensées nous représenter, nous le peuple, représentent seulement leur parti, sans se soucier de notre sort !
Nous assistons à une valse des étiquettes. Un jour l’un est l’opposition quand l’autre est dans la majorité. Cette danse est sans fin et surtout sans solution. Je ne veux plus de ce clivage droite/gauche que l'on nous impose comme seule et unique vision. Je ne veux plus de ce choix politique qui mène notre pays à la ruine, au désordre social. Nous sommes bien loin de notre héritage Gaulliste.
Malgré cela, j’ai écouté le discours du Premier ministre avec beaucoup d’attention pour apprendre de nouvelles mesures. Et bien, j’ai été déçu, aucune mesure inédite, il ne s’agissait que d’une simple énonciation des mesures données lors de l'élection présidentielle. Certains diront que c’est un discours redondant, d’autres de cohérence. Une chose est sure, c’est un discours Hollandien .
Seule chose à noter, la rigueur. Quelle soit de gauche ou de droite, elle sera présente avec des conséquences que nous devrons surmonter ensemble. En ces temps de crise, il faut savoir s’unir, savoir se rassembler pour que la République en sorte victorieuse.
 En espérant que l’opposition ne s’opposera pas par principe et que la majorité n'acquiescera pas sans broncher ! Chers parlementaires, faites évoluer les débats, faites en sorte que nous ne soyons pas dans une partitocratie !
J’aimerai enfin relever que le thème de l’immigration n’est pas un sujet principal dans l'hémicycle. Ce thème  ne prend de l’importance que lors des élections. Preuve que ce n’est pas LA cause de nos maux.


dimanche 17 juin 2012

Le Mouvement Citoyen et Solidaire est né

Bonjour à tous,

Le scrutin de dimanche 10 juin a montré un nouvel élan sur la 3e circonscription. Ma candidature a obtenue 0,55% des suffrages ce qui est très encourageant pour une première fois.
Cela montre aussi que de nombreuses personnes ne se sentent pas représentées par les politiques en exercice actuellement, par les partis qu'ils représentent. Ces personnes ont besoin de quelqu'un qui leur ressemble pour réellement se faire entendre.

Le mouvement qui s'est mis en marche pendant le premier tour des législatives ne doit pas s'arrêter. Ce n'est pas le moment de se décourager, au contraire. Ce mouvement doit gagner en importance pour se faire entendre.
C'est la raison pour laquelle j'ai décidé, en m'appuyant sur les résultats du premier tour des législatives, de créer un nouveau parti.
Celui-ci s'appellera le Mouvement Citoyen et Solidaire (MCS).
Il n'est apparenté à aucun courant de droite ou de gauche à l'image de ma candidature aux législatives. Il ne s'agit pas de défendre les intérêts de la gauche ou de la droite mais ceux des électeurs.
Le terme citoyen renvoie lui, à l'intérêt de s'exprimer par le vote. Il est important de faire entendre ses opinions de cette manière. Je ne cesserai de le répéter, il s'agit de la meilleure façon de se faire entendre.
Le terme solidaire, me tient aussi particulièrement à coeur, car sans solidarité, rien n'est possible.

Je reviendrai vers vous, par l'intermédiaire de ce site et des réseaux sociaux notamment pour en dire plus sur l'avenir de ce nouveau parti.

N'hésitez pas à véhiculer le message, le Mouvement Citoyen et Solidaire est né pour continuer le chemin déjà accompli pendant la campagne pour les législatives.

Cordialement,

Lahcen Benmaza

lundi 11 juin 2012

Le combat pour la citoyenneté ne fait que commencer

Hier a eu lieu le premier tour des élections législatives. Ma candidature a reçu 177 voix ce qui correspond à 0,55% des voix de la 3e circonscription de l'Isère.
Je félicite Michel Destot et Nathalie Béranger qui sont arrivés en tête, et j'invite l'ensemble des électeurs à se mobiliser et à voter massivement au second tour, soyez citoyens.
J'en  profite aussi pour remercier les personnes qui ont cru en moi, 0,55% pour une première candidature, c'est une première victoire. Ce chiffre montre que le changement a bien commencé, qu'il est en marche.
Ma candidature ne restera pas sans suite, je suis pour que le mouvement continue, le combat pour la citoyenneté ne fait que commencer.

Merci encore,

Lahcen Benmaza

Si vous voulez connaître les résultats plus en détails sur la 3e circonscription, c'est ICI.
Vous pouvez aussi revoir, en images, la soirée du premier tour des législatives ICI.

samedi 9 juin 2012

Mes remerciements à Monsieur Yves Bonnard

Je souhaiterais adresser mes plus vifs remerciements à Monsieur Yves Bonnard qui m'a fait part de son soutien par voie postale.
Je souhaiterais aussi le remercier pour son aide financière qui me va droit au coeur.
Vos soutiens et celui de Mr Bonnard comptent énormément pour moi et me poussent à me surpasser pour que les choses bougent enfin, pour un avenir meilleur.

N'oubliez pas que la dernière étape de ce changement se joue demain dans les urnes. Allez voter et incitez votre entourage à aller voter. C'est de cette manière que l'on changera les choses, ensemble, vote après vote.

Merci encore

Lahcen Benmaza

samedi 2 juin 2012

Ma candidature en images et en son

Plus que de simples écrits, j'ai décidé de mettre mes convictions en mots, en musique et en images. J'ai voulu que vous les entendiez, comme si je les prononçais face à vous.
J'espère que vous apprécierez et que vous partagerez cette vidéo qui me tient particulièrement à coeur. Ces  convictions sont la raison pour laquelle j'ai décidé de me présenter.

Lahcen Benmaza


jeudi 31 mai 2012

Jeudi, au marché de la Villeneuve




Ma tournée des marchés continue. J'étais hier, jeudi, au marché de la Villeneuve, une étape qui me tenait particulièrement à coeur.
N'hésitez pas à consulter ma page Facebook pour vous tenir au courant de mes prochains déplacements.

Très bonne journée,

Lahcen Benmaza








dimanche 27 mai 2012

Un très bon accueil au marché Saint-Bruno


Une partie de l'équipe de campagne, prête à affronter la pluie pour tracter.

Premier jour de tractage principalement au Marché Saint-Bruno et au marché de l'Estacade. L'équipe de campagne est surmotivée malgré la pluie. L'accueil est chaleureux. Les gens acceptent nos tracts et n'hésitent pas à engager la conversation.
La concurrence est aussi présente, mais les échanges sont très cordiaux.

Cette matinée a été pour moi l'occasion d'aller à la rencontre des gens de la troisième circonscription. D'échanger avec eux sur leurs problèmes, sur les réalités de leur quotidien, de leur métier.

Je serai jeudi 31 mai, au marché de la Villeneuve, à partir de 14heures.
N'hésitez pas à m'aborder, à venir me parler de vos problèmes, de vos envies.
Je me présente pour vous représenter, pour être votre voix.








 Rencontre avec Benoît ODILLE candidat Solidarité et Progrès (3e circonscription)




vendredi 25 mai 2012

Ma candidature au nom de la République


Madame, Monsieur,

Je me présente aux élections législatives car jʼaime la République et ses valeurs. Grâce à ses valeurs je pense que l’on peut tout surmonter.

Oui, la République cʼest la Liberté, lʼÉgalité, la Fraternité, la Laïcité, mais pas simplement. Cʼest aussi lʼamour, la justice, le respect et bien plus encore.

La République nous rassemble, nous protège, nous discipline, nous donne la marche à suivre, nous accompagne dans les difficultés comme dans les moments agréables, telle une mère qui éduque ses enfants, tous sans exception quʼils soient nés dans la douleur ou non. Ils seront tous différents, mais égaux. Elle les traitera de la même manière en amour et en affection, en réprimandes  comme en sanctions.

Or, je fais le triste constat que ces valeurs sont de plus en plus bafouées et transgressées à tous les niveaux, à commencer par lʼAssemblée nationale qui a été le théâtre dʼactes et de discours antirépublicains, blessants, stigmatisants, rabaissants et culpabilisants.

Cela fait plus de 5 ans, oui je dit bien plus de 5 ans que nous sommes dans une politique de rupture avec les valeurs qui fondent notre République.

Oui, je suis de ceux qui pensent que tous ceux qui sont aux service de l'État doivent montrer l’exemple car ils sont le reflet de la République et sans une République irréprochable on ne pourra jamais se réconcilier, se reconstruire, se redresser.
 Soucieux de cet objectif commun, je m’inscris totalement dans la dynamique présidentielle qui se veut apaisante et je mʼen réjouis.

Comme chacun le sait, le monde et plus particulièrement l'Europe traversent une crise terrible. Regardez la Grèce, lʼEspagne, lʼItalie ,la montée du chômage, la baisse du pouvoir dʼachat, mais la gravité de cette crise se mesure aussi avec la monté de l'extrémisme, pas seulement en France, mais dans toute lʼEurope.
N’oublions pas que les heures les plus sombres de notre Histoire ont toujours été précédées par de grandes crises économiques, politiques, et sociales.

Dans ces moments difficiles, seules les valeurs de la République comptent. 
Il ne faut pas que cette crise devienne morale.


Je veux dire aussi quʼil ne doit pas y avoir de tabou. Il doit être possible de parler de tout. La droite a le droit d'être décomplexée mais surtout le devoir d'être républicaine. Nous avons le devoir de parler de laïcité, mais pas dans le but de stigmatiser une seule religion, on peut parler dʼIslam sans constamment l’associer au fanatisme. On peut parler d’immigration, sans l’associer au chômage, à l'insécurité, à la fraude ou à l’assistanat. On peut parler d'intégration sans pour autant être raciste. On peut être patriote sans être nationaliste. Nous avons voté pour le changement, le renouvellement, ce nʼest pas pour voter pour les mêmes personnalités, déjà vues et revues.
Je veux bien quʼil nʼy ait pas dʼouverture au gouvernement, que la gauche soit majoritaire au Sénat, une majorité élargie à lʼAssemblée nationale, mais je ne veux pas dʼune opposition unique de lʼUMP qui ne fera que contredire et contrefaire dans le seul but clair de discréditer la majorité.
Là aussi je demande le changement des mentalités. Il faut être uni derrière un président avec pour unique objectif de redresser la France. 
Je veux alimenter le débat avec des idées jeunes, neuves, innovantes, je veux que la voix de nos quartiers soit entendue au plus haut niveau .


Oui, je veux être le trait d’union entre les jeunes et les moins jeunes.
 Je suis cette jeunesse qui doit être au service des jeunes dʼhier, mais aussi des jeunes de demain.

Alors, pourquoi cette jeunesse si chère à notre président n’aurait pas le droit dʼavoir un siège à lʼAssemblée ?
Oui ma candidature est légitime. Je ne représente aucun parti, je nʼai aucune étiquette.  Certains me le reprocheront, me disant que cʼest embêtant. En effet, je n’ai pas les mêmes moyens financiers que les autres candidats. Mais lʼavantage cʼest que je nʼai aucun conflit d'intérêts. Aucune consigne de vote ne viendra me perturber, me détourner dans mes choix.
Je serai uniquement guidé par les valeurs de la République. Et ce par la voix des habitants de la 3e circonscription.

La seule étiquette que je porterai à bout de bras cʼest celle dʼêtre Français et dʼêtre un jeune grenoblois au service de la 3e circonscription.

Lahcen Benmaza